Quand les esprits ne sont plus si immatériels... [RP privé]

Vous avez dit impossible ?
L'impossible n'est impossible que lorsqu'on définit le possible. Qu'est-ce qui est possible ? Tout ce qui n'est pas au delà de nos capacités. Mais, Monsieur, si quelqu'un avait des capacités supérieures aux vôtres, une partie de votre impossible serait définie comme son possible. Alors quoi ? Pourquoi ce questionnement ?
Juste pour vous dire que je vous emmerde, avec vos histoires d'impossible ou de possible. C'est pas parce que vous êtes des pauvres gamins humains qui ont vécu quarante ans à tout casser que personne n'est meilleur que vous. Oui Monsieur, on m'a dit "Mais je croyais que vous étiez immatérielle gnagnagna", "on peut tuer ce qui est de chair et de sang blablabla". Ouais ouais c'est ça. Retourne faire mumuse, j'ai 1300 balais moi, je joue dans la cour des grands. En plus, je joue pas, justement.
Ce n'est pas parce que vous êtes des incapables que je le suis aussi. Et puis vous ne savez pas ce que c'est que d'être un fantôme, et quand on sait pas, on demande, au lieu d'hurler les âneries du village.

Bref monologue dont ils ne connaitrons jamais l'existence, faible d'importance, mais j'apprécie assez peu qu'on se moque de moi. Surtout l'autre. Il faut que je lui trouve une punition d'ailleurs. Mais avant tout, j'ai quelqu'un d'autre à punir... Rira bien qui rira la dernier.

Je passais à travers la porte de la chambre, oeil aux aguets. Il était là, dans le lit. Ce foutu Baroncrapo. Ils auront qu'à lui demander ce que j'ai dans la culotte tiens...
Sans pudeur, je me glissai en sous-vêtements sous sa couverture. Au passage, merci Tifni pour la culotte, merci Willel pour le soutif, et enfin merci Sylya pour les bas ! Le Baron ne semblait rien remarquer, dormant à poings fermés comme un bébé. C'est bête pour lui. Autant pour la délicatesse, puisque je peux me permettre de l'éviter !

Sans attendre, je vire la couverture en deux mouvements de bras, et le retourne sur le dos. Il remua en marmonant des paroles incompréhensibles. Je n'y prêtai aucune attention et me hâtait de menotter ses bras au lit.

Et maintenant ? Je le réveille...?
J'hésitais à lui flanquer une baffe. Je lui devais bien ça, mais comme réveil, c'est pas tip top. Finalement je m'allongeai sur lui, embrassant son cou, puis mordant son épaule assez pour qu'il se réveille.

Aussi palpable est le corps, l'esprit reste un mystère pour beaucoup, une énergie vaporeuse pensante. Quand le sommeil nous accueil, l'esprit dort-il ? Ou se met-il justement totalement en éveil mettant de côté les stupidités matériels qui nous accable un peu plus chaque jour.
La légèreté de l'être passe par l'abandon d'un corps trop lourd et encombrant. Nos rêves sont la vie de la profondeur de nos âmes... Ils nous appellent et nous entrainent au confins de notre nature intime...

Je dormais, après une journée horrible où j'apprenais la disparition d'un stock de radis d'hiver. Personne ne sait qui aurait pu... Je dormais seul ma brute partie au loin vers une autre vie, dévorant allègrement jambes et bras sans que mon regard réprobateur ne lui donne des aigreurs d'estomac. Couché sans manger, j'avais l'estomac d'un étalon (c'est bien plus classe que dans les talon !), les gargouillis ne m'avaient pourtant pas retenue trop longtemps... J'avais sombré dans les bras d'une danseuse onirique.

Combien de temps déjà sans l'étreinte d'une femme, l'état de manque, les envies journalières au domaine où les belles femmes succèdent au jolies filles. Et les rêves au besoin nous conduisent...

Je la sent autour de moi, son parfum suave accélère mon coeur et pousse mon sang dans ses extrémités les plus intimes. Je la sens sur moi dévorant mon âme, réclamant une passion provisoire. Je me sens fébrile pourtant, je ne sais l'étreindre ni la repoussé, je suis comme paralysé, victime d'un poison excitant. Tout cela semble si réelle, je pourrais presque ouvrir les yeux... Oui, enfin .... Je les ouvre.

Ce n'était bien sûr pas celle que j'attendais. Elle n'en était pas moins belle...

"Ethsitema...." Dis-je soudain...

Que faisait elle là ? A demie nue sur mon torse à me mordillé de la sorte... Que dire ? que faire ? Ne rien dire... Se laissé faire... J'aime... J'ai envie de la prendre, tout de suite. Caressé ses formes plus qu'avantageuse, les enveloppé de ma bouche.
Quelles sont ses envie envers une ennemie. Elle se joue de moi je le sais... Abusé... Profité...
Moi aussi j'ai envie d'en abusé de ses seins, de profiter de ses hanches, jusqu'à épuisement...

J'espérais qu'elle ne parte pas, qu'elle ne m'allume pas comme une simple bougie dont on souffle la flamme moins d'une minutes plus tard, je veux être consumé...

» Prise des esprits...seul... enfin preceque
» Qui sont mes amis ?
» Se sont des soeur...